26.6.15

et les proches
























Sont parfois les mêmes.

Too difficult to translate, sorry no french readers.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Depuis longtemps, je lis les traces que vous laissez. Les mots, les traits, les couleurs. J'aime les lire parce qu'elles font écho en moi, je crois. J'aime les lire parce qu'elles apaisent le tourbillon de la vie, petites pauses sur l'essentiel. Je les lis sans laisser de traces, sauf une fois, vous pensiez à elle en nageant. Je ne vous connais pas et je ne vous ai même pas imaginé un visage et pourtant vous m'êtes familière. C'est étrange ces points communs que je vois parfois... cette sœur disparue et là, toujours, cette nécessité de créer pour se sentir vivante, cette sensibilité aux autres tout en discrétion, ce métier d'enseignante (vers une nouvelle orientation), ce bout de terre, le Finistère, le bleu... j'ai pris un carnet depuis peu, j'y note les mots tels qu'ils viennent à mon coeur. Je crois que j'en avais besoin, je crois que ça me fait du bien. Je vous remercie pour ça.

auprès de mon arbre a dit…

Je suis très touchée par votre commentaire. Je ne me rends pas compte des voyages que font mes mots et mes images, ni qui les accueille ni où. Ma vie dans mon petit coin du monde est ordinaire, je m'efforce de la vivre la plus juste possible avec ce que je porte en moi. Je suis heureuse (très) de savoir que je ne suis pas seule à partager les mêmes miettes d'espoir, d'envie et de bonheur simple dans ce vaste monde qui parfois m'effraie et où souvent, je me sens en complet décalage.
Si nous sommes deux, dix, ou mille, j'en suis déjà heureuse.
Tout simplement, merci de vos commentaires à tous (même si je n'y réponds pas souvent, je les lis tous avec beaucoup de bonheur).

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