18.4.15

persistance rétinienne
























D'abord le léger vent dans les cheveux,
la lumière qui révèle chaque vague bien avant qu'elle ne vienne s'écraser à nos pieds,
la nécessité de plisser les yeux,
et oh ! mon dieu qu'elle est froide !
Je me vois,
ici, dans dix, vingt, trente ans encore.
Toujours.

In the world,
there is only one place I want to stay for ever,
a small village very close to the sea on a peninsula.
I growed there
and each time I come back,
I feel myself wave, wind, sand and seagull.

2 commentaires:

sylvie kapal a dit…

j'ai pensé; piscine, vagues, flot
en regardant

Miss Marmotte a dit…

comme c'est beau...j'entends le vent......

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